Assassina Joey

Voila Pi les screens que tu voulais , mais moi je ne prendrais pas part a cette contestation hrp ! Certe ils m'ont allumer pour rien ...
mais je veux simplement finir correctement RP !

Donc voila faits en ce que tu veux ! Tu as mon autorisation !





Voila bonne chance pour la suite !

merci

[Quelque part en Languedoc]

Le Bourguignon prit la route sous une nuit clair. La pleine lune éclairant alors son chemin.
Cela rendait son périple encore plus compliqué. Il est toujours en procès et ne sais pas si les autorités ont demandé de l’arrêter ou pire : de le tuer a vue !
C’est alors une longue nuit qui s’annonçait . Malgré la douceur du mois de juin, le vent qui soufflait cette nuit là etait particulièrement froid… un vent glaciale, comme celui dit-on qui précède la mort. Durant cette marche, Joey, ne pu que penser a sa femme, et Astride qu’il avait laissé en Bourgogne. Et il ne pouvait ignorer ce mauvais pré-sentiment. Alors avant de partir il avait rédiger une lettre. Lettre destiné a sa femme et a ses amis de Bourgogne et d’ailleurs, ces dernières volonté en quelques sorte. Comme s’il pré-sentait un malheur approchant !

Le bourguignon encapuchonné, marcha une bonne partie de la nuit sans encombre ni problème. Il avait tout de même l’habitude de marcher vite de nuit, et avec une certaine discrétion. L’aube allait bientôt pointer le bout de son nez, et Joey arriverais au alentour de Montpellier. Alors qu’il approchait d’un sous bois Joey cru apercevoir des ombres bouger a la lisière de la forêt. Sûrement abusé par sa fatigue le bourguignon poursuivit sa route.

C’est alors qu’a peine pénétrer dans le bois, un flèche rata la jambe de Joey de peu. Avec un réflexe du a l’expérience, l’homme se plaqua contre un arbre et tira son épée. Peu importe qui etait ses adversaires ni leur nombres, sa vie en dépendait ainsi que la suite de sa mission.
Une autre flèche vint a ses pieds. Le voilà encerclé. Joey se replaça sur la route et vit un ombre bouger a sa gauche, tendit qu’un autre assaillant le prenait a revers et l’attaqua sur son flanc droit. Attaque qui lui valut une entaille a la jambe et handicapant alors dans ses déplacements.
Mais il se retourna avec une grande vitesse malgré sa blessure ce qui surpris son adversaire. Et lança un contre attaque. Son assaillant portait les couleurs du Languedoc, ainsi donc il avait a faire a l’armé régulière. Il etait tombé dans une réel embuscade.

Les coups continuaient de pleuvoir sans que Joey puisse répliquer. D’après ces estimations il devait approcher la dizaine d’hommes. Une dizaine d’homme pour un seul. Quelle grande classe ! Mais tel etait le fonctionnement des OST, et il etait très bien placer pour connaître leur fonctionnement.

Joey essuya de nombreuse blessure superficiel, jusqu'à ce qu’enfin une lame vint se planter dans son flanc. Il tomba a genoux et se releva tant bien que mal. C’est alors qu’un autre couard vint abattre sa lame sur le crâne de Joey. Le Bourguignon se protégea avec son bouclier qui vola en éclats. Il essaya de contre attaquer mais toujours sans résultats, le combat etait inégale, même avec son expérience Joey ne pouvait rien faire.

Le dernier coup lui fut fatal, une belle lame en acier lui entailla le torse, coupant son mantel et même la veste de cuir, pour enfin attaquer la chair a vif.
Joey s’écroula et resta inanimé sur le sol…


[Quelques minutes plus tard]

Ambroise releva la tête. Sa vue etait trouble et mis un petit moment avant de redevenir net. Il se déplaça difficilement jusqu'à un arbre et s’asseya. Il observa la zone de combat et vu sa lame (sur la quelle etait gravé les devises de la bourgogne et de sa famille. Montjoie St Bynnarr et Simper Fidelis) posé sur le sol. Le pommeau entaché de son sang. Et son bouclier brisé en plusieurs morceau. Il n’avait eu aucune chance se dit-il.
Il s’observa alors… Il etait dans un petit états et se sentait de plus en plus faible. Il enleva son mantel et le laissa au pied de l’arbre, avec la lettre dedans (lettre destiné a sa femme … Nad qu’elle triste vie il lui faisait vivre). Et se releva a l’aide d’une branche trouvé juste a côté.

Il ne pouvait pas rester là, bientôt d’autre reviendrait constater sa mort et s’en serais finit de lui. Le Bourguignon s’enfonça dans la forêt préférant une mort seul, plutôt que forcer par ces maudit Languedocien. Il disparu sous l’aube naissante.

[Au petit matin quelque part en Languedoc]

Fabrice, paysan de père en fils venait de quitter son village pour se rendre au marché du village voisin.
En plus la nouvelle d’un camps de voyageur arrivé il y a peu augmentait la demande et donc les affaires marchait plutôt bien. Un groupe de Bourguignon parrait-il. Qu’est ce qu’on en entend parler en ce moment de ces maudits buveurs de vins.
Fabrice le paysans poursuivit sa route et se hâta d’atteindre le sous bois pour éviter la chaleur du soleil de juin.
Mais une fois dans le sous bois, il se sentit mal a l’aise comme si l’odeur de la mort régnait en ces lieux.

Il s’avança prudemment, et trouva un zone ou devait avoir eu lieu des combats, des combats récent qui plus est. Sûrement encore l’œuvre de l’armé ducale. Ils patrouillaient beaucoup plus depuis qu’un groupe de pèlerin fut décimé et la lois martiale décrété.

Le paysans déscendit de sa carriole et d’approcha des traces de sang. Un homme avait énormément saigné ici, un ou des hommes. Un bouclier etait brisé et une épée tâché de sang posé au sol. Malgré tout l’ont peu deviné que cette lame etait de très bonne facture et ne pouvait appartenir qu’a un noble ou a grand militaire.
Son regard suivit les traces de sang et le conduisit jusqu’au pied d’un arbre. Il y trouva un manteau de voyage, imbibé de sang.
Fabrice plein de curiosité, essaye de voir ce qui etait inscrit sur ce mantel. Il n’y vit rien mis a part un blason inconnu, et les armoiries du duché de Bourgogne.
-Encore un Bourguignon, se dit-il, mais il ne doit pas être jolie a voir.
Le paysan ramassa le mantel et c’est alors qu’un lettre tomba, elle est cacheté, avec marqué dessus :

Pour Nadkiroul Ambroise, et a la Bourgogne.

Il ne chercha pas plus loin, il ramassa tout ce qui pouvait appartenir a ce guerrier : épée, mantel, bouclier, lettre. Et décida de se rendre au camps des voyageurs (suite).

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[Camp bourguignon]

Fabrice venait de voyageait une grande partie de la journée, il ne s’etait même pas arrêter au marché pour vendre sa marchandise, il préférait rapporter au plus vite sa trouvaille. Il n’avait pas encore été contrôler par une patrouille et ne voulait même pas risquer avec sa cargaison.
Bien qu’il ne cachait rien de bien important, il ne savait pas vraiment a qui appartenait ces affaires.

Il entra dans le camps, se dernier etait en pleine activité. De nombreux etantdar etaient déployer. Au même couleur qu’un des deux blason du mantel. Celui qu’il reconnu comme de la Bourgogne. Encore un autre etandar etait déployé mais celui-ci encore différent des deux du mantel.

Il s’approcha de deux personne en arme, au couleur du campement et supposa qu’il devait s’agire de deux superviseur. Vu qu’il faisait le point et ne participait pas dans l’instant a la construction du camp.

Il arrêta son attelage prés de et mi-pied a terre. S’avança en baissant la tête eu dit :

Bonjour a vous noble étranger, je viens vous voir car j’ai retrouvé ce matin sur ma route certaine chose qui pourrait vous intéresser.

Sans demandé permission il s’empressa d’aller chercher sa trouvaille et de déposer ça devant le groupe de trois personnes.

Voilà, il s’agit d’une épée avec gravé plusieurs inscription dessus, un bouclier brisé, et un mantel tout tâché de sang dans le quel sont cousu plusieurs blasons.

Il les regarda et rajouta : j’ai trouvé cette lettre dans le mantel. Je n’ai osé l’ouvrir. Elle est adressé a une dénommé Nadége Ambroise, et aussi au duché de Bourgogne. Tenait !

Le paysan leur tendit la lettre. Puis se recula.

La femme prit soudain un air grave et attrapa la lettre… lettre qui disait :


Citation:
Samedi 13 juin de l’année 1457, Nîmes, Languedoc :

Si quelqu’un lit cette lettre c’est sûrement que je ne suis plus de ce monde ou qu’il met arrivé malheur.
Je suis en ce jours dans la ville de Nîmes et je prend la route de nuit en direction de la capitale languedocienne.
Mon procès se termine d’ici très peu de temps et j’espère pouvoir atteindre la frontière sud sans encombre et ainsi rejoindre Clothylde en Espagne. Mais je ne suis pas a l’abris des troupes de se duché qui patrouille régulièrement sur les routes. Je me devrais d’être vigilant.

Simplement tout ce que je possède reviendra a ma femme Nadége Ambroise et a mes filles : Anaïs, Mellyssa, et Astride. Ainsi que mes affaires retrouvé en Languedoc leur reviennent.

Ma très chère Nad,

Si tu reçois ce courrier, c’est que je ne suis plus. Quelle triste existence je t’es fait vivre ! Mais jusqu’au dernier moment je penserais a toi.

Pour une fois tu m’a laissé partir sans rien dire, acceptant se départ, te disant qu’il n’en etait qu’un de plus. Et que je reviendrais encore une fois comme toujours triomphant de mon voyage.

Moi aussi je le croyais… mais il en est autrement. Il faut croire que si tu lit cette lettre c’est que la suite de mon voyage ne sait pas déroulé comme prévu et que cette fois … je ne rentrerais pas !

Quelle dure souffrance que de t’écrire ces mots alors que je suis encore vivant ? Mais il me permet aussi de me souvenir de chaque moment que nous avons passé tout les deux. Sache aujourd’hui que pour moi nous n’en sommes encore qu’a sancerre ! La ou notre amour a débuté. Pour moi cette amour en est toujours la, intacte, et sincère. D’ailleurs en écrivant cette lettre le tient au tour de mon coup cette alliance que nous avons échangé il y a bientôt un ans.

Je ne sais pas vraiment quoi te dire a part pardon. Pardon a toi et a nos filles, de vous avoir laissé une fois de plus, mais cette fois ci sans retour envisageable.

Ton mari qui t’aime
Joey Ambroise




Maintenant a la Bourgogne :

Moi Joey Ambroise, déclare que si cette lettre parvient en Bourgogne autrement que part ma main, c’est que je ne suis plus. Et donc ne pourrait plus assurer mes fonctions de Chancelier de l’Ordre de la Toison d’Or de Bourgogne.
J’aimerais dire aussi que jamais je n’ai eu plus grand honneur que de servire la Bourgogne toute ces années :

Que ce soit en temps que Conseiller ducale. Soldat, Sergent, puis Capitaine des Garnison de Chalon, Autun, Mâcon et enfin Colonel a l’Etat Major de notre armée. Mais aussi a poste de Connétable.

Que ce fut un honneur pour moi de servire notre duché en tan que membre puis chef des Service de Renseignement de Bourgogne, que j’ai quitté il y a un moment déjà.

Et enfin que ce fut un honneur d’être décorer de la toison d’Airain, et de la croix de Bourgogne.

J’apporte mes dernières salutation a tous ceux avec qui j’ai eu l’occasion de travailler ou qui m’ont soutenu dans toute mes entreprises !

Que l’ont oublie jamais la mémoire des notre tombé ces derniers mois en Languedoc !

Vive la Bourgogne !






Le paysan regarda la femme lire avec la plus grande stupeur. Cette lettre ne doit pas porter de bonne nouvelle. Puis il rajouta :

Si vous me le permeter je vais me retirer, j’ai des affaires en cours, mais sachai qu’il n’y avait pas de corps la ou j’ai trouvé ce bazard, par contre il y avait beaucoup de sang. C’etait non loin de Nîmes !

Le paysan Fabrice fit demi-tour et grimpa sur la carriole avant de partir.